Moi c’est le petit pont proche du magasin, c’est où il y a une petite cabane où les gens se marient et il y a une petite rivière sous le pont et c’est très beau.
J’aime beaucoup la proximité avec le fleuve, les églises, les bords de l’eau, la nourriture. J’aime bien le village de Saint-Roch-des-Aulnaies, la petite auberge tarapatapom avec sa grange à livre.
J’ai découvert la Seigneurie des Aulnaies et dans ses jardins, j’ai trouvé qu’il y avait de très beaux grands arbres.
Moi j’adore venir dans Région L’Islet, surtout au café de L’Estuaire. Je viens créer, je viens prendre des heures et des heures à boire du café et manger des délicieux mets préparés avec des petites fleurs sauvages.
Je suis de Saint-Roch et j’aimerais qu’on puisse commémorer…qu’il y ait une oeuvre qui était le bateau phare pour les activités maritimes, visible à partir de Saint-Roch-des-Aulnaies. Il servait de repère pour les occupations maritimes. J’aimerais une sculpture, une tour d’observation, qui commémorerait le bateau phare car il n’y en a pas beaucoup dans la région et ce serait vraiment chouette.
Mon endroit qui me fait le plus vibrer dans Région L’Islet c’est le bord du fleuve à Saint-Roch-des-Aulnaies, à côté de l’église avec toutes ses plantes sauvages comestibles…le foin d’odeur et l’ilot de génévrier, les groseilles, les épinards de mer. Puis chaque fois que je sort du presbytère, au café ce L’Estuaire, ça m’allège, ça me fait du bien après toute une journée de travail (suite…)
En haut du chemin Pinguet se trouve une église, ancienne chapelle protestante, à droite de la chapelle se trouve un ancien presbytère rénové par ses propriétaires depuis les 15 dernières années de manière absolument magnifique, jardin, eau, verger… Ce lieu est pour moi un lieu de ressourcement au coucher de soleil qui soulève passion, bienveillance et gratitude.
Bonjour ça me rappel des souvenirs la côte des Bois, l’école et le petit canot, je suis née là et je suis parti pour Longueuil en 1963 et j’ai retourné assez régulièrement voir la parenté.
Porte d’entrée du Sud de L’Islet, le Lac Noir est un site à ne pas manquer. C’est un lieu inspirant qui permet d’observer faune et flore dans un magnifique paysage et qui est en train de revivre grâce à un comité citoyen qui souhaite le remettre au goût du jour pour pouvoir en faire profiter les habitants du coin, de la MRC de L’Islet ainsi que les passants en visite dans ce coin de pays. Les amoureux d’ornithologie connaissent bien le site.
Le hameau de Pinguet est une trace tangible de la force tranquille qui meut les habitants de L’Islet. L’église qui trône sur un site magnifique, un promontoire en surplomb de la plaine du Saint-Laurent, est le symbole d’une résistance citoyenne, d’une communauté qui se prend en main et s’organise.
La cédrière vieille de 300 ans à Saint-Marcel est un trésor de notre écosystème forestier, préservée par la nature et pratiquement intouchée par l’homme, un joyau. Quand je me promène dans la forêt ancienne du Ruisseau-Hamon, c’est tout simplement magique.
Le parc municipal et ses alentours est un site le long du littoral. Un accès public paisible ou l’on peut admirer les paysages, le fleuve , les montagnes de Charlevoix, les oiseaux et une flore. Un lieu patrimonial où culture et environnement se lient et permet aux résidents et visiteurs d’apprécier cd lieu unique au cœur du village.
Saint-Jean-Port-Joli, l’un des villages de mon enfance, vaut le détour! Le moule à sucre est un paradis pour les amateur.trices d’artisanat et de produits québécois. Le village est rempli de petits restaurants, cafés et boutiques; je recommande un tour au Quai des Bulles et aux Enfants du Soleil… Enfin, aller faire un tour au quai le soir pour admirer le coucher du soleil sur le fleuve et les montagnes est un incontournable!
La vue 360° du haut de la tour est exceptionnelle et le lac trois saumons avec ses bordures sinueuses, les épinettes et les sapins qui nous parfument l’air et les couchers de soleil sur le fleuve à l’horizon, épique!!
Sur la route 285, de Saint-Adalbert à Saint-Marcel nous sommes dans la forêt, et dès qu’on arrive à Saint-Cyrille, paf! La vue du fleuve, les montagnes, le clocher de l’église, wow! On voudrait s’envoler au dessus de tout.
Au printemps, lorsque les carouges à épaulettes arrivent, j’adore me promener sur le chemin du moulin, bordé par le fleuve et ses magnifiques maisons colorés…le vent est bon et la vue du Charlevoix à distance est inspirant.
Mon chez-moi est magnifique. Au bord du fleuve, jamais pareil d’un jour à l’autre. Avec les marées qui font de la grève un paysage toujours changeant d’heure en heure. Et les montagnes de Charlevoix en arrière plan, découpées par le coucher du soleil. Et la visite biannuelle des oies blanches et des outardes. Et les glaces qui s’accumulent, créant un décor hivernal unique. J’ai vraiment de la chance d’avoir élu domicile dans ce paradis en 1998 et je m’émerveille toujours autant à chaque jour depuis.
Mon histoire « La côte des Bois »
J’ai quitté ce merveilleux coin de pays qu’est Ste-Félicité-de-l’Islet, rang Taché-Ouest (La côte des Bois) à 22 ans pour aller m’établir à Québec en tant que travailleur au C.H.U.L.
J’ai quand même la chance d’y retourner régulièrement, car une partie de ma famille y réside encore. Sur 10 enfants, il y a ma sœur aînée qui reste au village, un de mes frères qui habite toujours la maison paternelle et un autre de mes frères qui a acheté la terre de mon père. Mes autres sœurs et frères sont établis dans les villages environnants. (suite…)
Un lieu magique le long du littoral de Saint-Roch-des-Aulnaies. Un accès au fleuve public et des paysages à couper le souffle sur le fleuve et les montagnes de Charlevoix. Il fait bon se détendre, d’observer les oiseaux et la flore et les couchers de soleil. Ce lieu possède un riche patrimoine paysager, environnemental, historique. Un lieu de fréquentation des Aulnaies à mettre en valeur.
Mon papa est natif de Ste Félicité. J’ai passé plusieurs étés de mon adolescence sur la Côte des Bois, chez ma Tante Alida et mon oncle Irenée Bois. J’en garde des souvenirs gravés dans cœur et dans tête, que je suis chanceuse… Les Bois sont ma deuxième famille, mes frères et sœurs de cœurs, je suis tellement heureuse lorsque l’opportunité se présente pour y retourner, sur la côte de cette famille pionnière de L’Islet-sud, mais aussi dans ce magnifique village enraciné au cœur des Appalaches, qu’est Sainte-Félicité.
Les pensées de mon enfance sur la Côte-des-Bois… Vers mes 7 ans, l’âge de tout comprendre et de déployer notre imaginaire. Mes trois premières années scolaires, je suis allé à la petite école de rang, ce petit bâtiment qui est toujours debout sur la Côte, immuable au temps. Je descendais la Côte pour aller dîner chez mon oncle Lionel avec mes cousins et cousines.
J’avais le sentiment de partir à l’aventure, lorsque je ne le disais pas à ma mère qui me sermonnait à mon retour.
J’allais aider mon grand-père Louis Bois pour faire les foins et ramasser les roches des champs, qui n’était pas toujours évident pour faire le jardin estival. (suite…)
C’est sur la Côte-des-Bois, ce tracé de terres hospitalières, se dessinant linéaire et majestueuse, suivant les contours des magnifiques montagnes des Appalaches, que j’ai marché maintes fois heureux et insouciant. D’un bout à l’autre, habité par les chaleureuses maisons des gens de ma famille, ce chemin Taché-Ouest, enraciné dans mon sang comme dans mon cœur, il a fait partie intégrante de qui je suis. Cet endroit a meublé ma mémoire des plus beaux souvenirs que l’on puisse imaginer ! (suite…)
Le paysage d’automne sur La Côte-des-Bois avec ces couleurs rougeoyante c’est magnifique et aussi le lever du soleil qui surplombe le matin au-dessus des Appalaches qui surplombe le village dont le clocher rayonne au loin, c’est splendide. Parmis les paysage les plus typique de la culture de L’Islet-sud.
Cet endroit est particulièrement magnifique, offrant une vue panoramique époustouflante. Un lieu de grande beauté où se marient, paysage et recueillement. Il s’agit de l’un des points de vue le plus hauts de la région. Cet endroit bénéficie d’une situation géographique exceptionnelle étant donné que Sainte-Félicité se situe au centre des villages du « haut » .
Les sentiers du lac fontaine claire et du bras d’apic sont si beaux. Un vrai moment où le temps s’arrête dans la nature. On se sent privilégié et au retour aux sources. Quand je veux reconnecter je vais la bas.
Lac Therrien, bras de la rivière Ouelle et terres à bois familiale sont tous dans le chemin du lac Therrien.
L’espace, l’odeur de la forêt, la pêche, la chasse, l’aménagement forestier, le ski de fond, les randonnées, faire son bois de chauffage. Difficile de s’ennuyer.
La région se revitalise petit à petit.
Je souhaite que ça se poursuive.
Quand j’ai besoin de large, d’air, de bouger, d’être seul, je vais faire une petite randonnée au sentier des champignons à Ste-Louise. C’est tout petit mais c’est un endroit qui incite à l’introspection, surtout arrivé au belvédère. J’ai l’impression d’appuyer sur pause et de recharger mes batteries. Une belle grande puff de beau.
J’adore le Belvédère du Camp Trois-Saumons, à l’extrémité ouest du lac, dans «les côtes». Les couchers de soleil y sont splendides. La légende dit, que des lutins y vivent!
C’est mon coup de cœur de la région!
C’est un endroit magnifique avec plusieurs lieux de baignades, autant dans le bassin proche du pont où l’on peut nager ou dans les petites cascades un peu plus loin où on peut se faire masser par les remous.
Il y a souvent du monde l’été qui viennent se baigner, j’y rencontre souvent des ami.es par hasards.
C’est notre lieu de pique-nique par excellence et l’endroit où on amène le monde qui viennent nous visiter! (suite…)
Quand la marée est basse, de petits lacs d’environ un demi pied de profondeur se forment en berge du fleuve, près de la vigie. Pour Phénix, mon chien, c’est un monde merveilleux d’amusement et il adore courir après les cailloux que je lance dans l’eau. Mais attention, les cailloux lancés doivent peser au moins 30 grammes et faire minimum 3 bonds, sinon Mr. n’est pas intéressé!
Sur le dessus de la montagne au verger de l’évolution la vue est tellement belle. On y voit le fleuve, les montagnes de Charlevoix, les vallées environnantes. Ce lieu m’inspire de par sa vocation et sa beauté. Il me redonne espoir en la nature humaine.
Après avoir soigneusement évité les plants d’herbe à poux, on peut se rendre sur un grand rocher qui surplombe le fleuve Saint-Laurent. On se sent comme sur une petite île où le temps s’arrête l’espace d’un instant. La silhouette de l’église qui se dessine dans le paysage constamment changeant donne à cet emplacement une allure presque mystique.
Pour moi, l’odeur des conifères qui se propage lorsqu’on se promène en sentier, été comme hiver, est nostalgique car elle me ramène à mon enfance, aux rêveries de sapin de Noël et aux balades en carriole. L’accès à la forêt et ses nombreux sentiers me permettent de rester connecté à l’enfant en moi.
Ça fait bientôt 10 ans que j’habite la région. Dès mon arrivée, à la fin de l’été, j’ai pris l’habitude de me retrouver sur la grève, derrière La Vigie. Ma fille, alors âgée de quelques mois, m’accompagnait bien souvent. Au fil des ans, nous avons poursuivi cette tradition, apportant avec nous couverture, collations, livres et ballon. Ma fille est aujourd’hui âgée de 9 ans, et encore, nous retournons à cet endroit régulièrement. Avec le même attirail. Dans le même but. Celui de partager du temps de qualité ensemble, sentir le fleuve, observer les oies, ramasser des larmes de sirènes (les petits morceaux de verres polis), relaxer et discuter. Chaque fois, j’y trouve la paix et la certitude d’avoir fait le bon choix de m’installer ici.
Native de Saint-Roch-des-Aulnaies, j’ai toujours nourri une affection toute particulière pour cette municipalité. Malgré que nous ayons quitté l’endroit dans les années 90, nos racines familiales y sont toujours présentes grâce à notre terre à bois du 2e rang. Un endroit d’un calme infini, où une multitude d’essences de bois, de faune sauvage et de flore délicate cohabitent. Un havre auquel nous revenons toujours pour rêver, respirer et ralentir.
L’Anse aux Trois Saumons a une signification spéciale pour moi car mes ancêtres d’origine y sont associés (Jean Leclerc dit Francoeur). Étant originaire du Nouveau-Brunswick et nouvelle arrivante en Région L’Islet, j’ai choisi moi aussi de m’enraciner tout près de l’Anse aux Trois Saumons. Alors quand je passe devant les chutes de l’Anse, je pense à mes ancêtres et à la migration qu’ils ont fait de génération en génération, jusqu’à ma famille établie au N.-B., pour ensuite choisir de migrer à mon tour 300 ans plus tard, au même point de départ que mon ancêtre premier, Jean Leclerc dit Francoeur.